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Brèves de Luna
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Une vague passe...

Une vague passe...

 

 

"Le spectacle de la nature me fascine, ses rythmes, ses couleurs ...

 ses petits riens à qui rien ne résiste..."

 

 

b-mERCIER.png 

 

 

MERCIER.gif

Un artiste complet qui se joue de la technique.

 

 

 

Un art proche de la nature et de la création

Son travail colle à la nature : ses rythmes, ses mouvements, ses couleurs….

Eveilleur du regard :
 
Il magnifie les petits riens qui sont le quotidien de la nature. .

Avec ses racines d'agronome, il cultive la dimension merveilleuse de la nature
 et nous prête à entrevoir sa dimension sacrée. .

 

 

 " La tète sous l'eau, hurle le vent du large ...

.., les vagues passent... "

 

 

benoit-mercier-peinture.jpg

 

 

Un art contemporain qui se fait l'écho des silences de la nature, comme la caresse du vent, le murmure de la vague...

 Un regard poétique aux sources de l'écologie et des préoccupations environnementales...

Apprendre à regarder et à rêver la nature, pour l'aimer, et mieux la protéger.

 C'est en quelques mots l'esprit du travail de cet ingénieur des eaux et forêts

devenu artiste plasticien.

 Par son art, il introduit la dimension sensible de l'écologie, développe une écologie poétique

 

 

" Sable "

 

sable-B.Mercier.jpg

 

 

 

 

Benoit Mercier Sculpteur Peintre Illustrateur Plasticien
Fasciné par le rythme des vagues, qui à marée basse, laissent sur le sable des lignes
fugaces, aux compositions géométriques parfois étonnantes, il en reproduit
le geste en peinture..
 
Avec la peinture acrylique ou l'aquarelle, et beaucoup d'eau, il fait des vagues sur la toile. les couches de peinture se superposent en glacis ou lavis, et recréent un univers fluide et transparent au parfum d'estran.

Depuis 2004, il décline ce travail dans sa série
 
 « Sable » .
Elle se poursuit aujourd'hui avec des couleurs plus denses et un mouvement plus accentué.
 
 
 
benoit mercier aquarelle série sable 
 

 

 

 

Entre peinture et sculpture :
 
la gravure.
 
Depuis 2005, il travaille la gravure en collaboration avec Christophe Felt, taille-doucier à Dinard.

Il peint ou dessine sur la plaque de cuivre, que le taille-doucier gravera avec la technique appropriée.
Il tirera ensuite les épreuves sous presse.

Les épreuves sont numérotées (tirages limitées) et signées, et sont des gravures originales.
Série « Lisière » :
 
Ligne entre terre et mer.
Trait d'eau forte sur la plaque de cuivre, et dégradés de gris profonds à l'aquatinte.
Son oeuvre suit les lignes, les traces des vagues, encore et toujours...
 
" Lisière " 
 
gravure-B.Mercier.jpg
lisiere-gravure-B.Mercier.jpg

 

 

 

 

Des sculptures monumentales

 

 

 

Depuis 2010, Benoît MERCIER crée des sculptures d'extérieur pour les commandes publiques, mais aussi pour des particuliers :
parcs et jardins.
Travaillant la pierre, le métal et le bronze, il propose des sculptures adaptées pour l'extérieur.
Avec son expérience d'ingénieur de projets, il est à même de gérer des grands projets pour  l'espace public, que ce soit les collèges, lycées… les parcs et jardins , ou encore les aménagements de voiries.
.
 
 
 
" A fleur d'eau " 
 
a fleur d'eau scupture B.Mercier 
 
 
 
"Lécu de chène " 
 
l-ecu-de-chene-B.Mercier.jpg
 
 
 
 
Sculpture en bonze et granit, d’une hauteur de 3,10m, installée au pied
du château de Léhon (septembre 2010)

Le château médiéval de Léhon protégeant la vallée de la Rance en amont de Dinan, a inspiré la création de la sculpture monumentale de Benoît MERCIER intitulée
 « L’écu de chêne ».

Cette sculpture est composée de deux parties qui se font écho :
1° une colonne en granit symbolisant une tour, et plus largement l’héritage
 médiéval du bourg,
2° une aile de bronze dont la symbolique est multiple :
- Elle fait bouclier, ou écu, qui rappelle le rôle défensif de jadis du château de Léhon,
- Elle s’évase vers le haut, se termine en pointe comme une feuille qui se déploie, ce qui donne une dynamique verticale, un élan qui rattache le bourg aux enjeux de notre temps.
- Elle fait écorce : elle porte en effet l’empreinte d’une écorce de chêne de la forêt de Coëtquen.

Une écorce de chêne protégeant un cœur de granit, comme un écu de chêne porté par un chevalier de pierre.
 C’est aussi la dualité du végétal et du minéral.
 Au moyen âge, le rapport avec la nature avait une dimension sacrée.
 Aujourd’hui, la nature, que notre société moderne a trop souvent malmenée, se rappelle parfois violemment à nous.
 Cette sculpture est un geste poétique fort qui vient nous rappeler l’un des enjeux majeurs du XXIème siècle :
se réconcilier avec la nature, s’inscrire plus intelligemment dans les grands équilibres écologiques de la planète dont la nature est la garante, afin que notre terre reste habitable.

Une coutume des campagnes françaises consistait à déposer en secret des pierres au creux des replis du tronc de certains arbres.
 La croissance du tronc enchâssait ensuite définitivement la pierre au cœur du bois.
 Cette pratique pourrait être liée à une ancienne croyance selon laquelle, en chargeant de pierres la base du tronc, on s’assurait une récolte abondante.*

Cette sculpture est en quelque sorte une version poétique et moderne de cette pratique. Puisse-t-elle contribuer à la prospérité de Léhon, et à la postérité de notre terre !

*(in « plaidoyer pour l’arbre », Francis Hallé, Actes Sud P.75) 
 
 
lecu-de-chene--de-B.Mercier.jpg
 
luna scintille