Timbrées non??

13/03/2012 13:29

CUSTO.....quoi??

MISEES ?

Hé oui il faut "miser"pour en obtenir une!!

Customisées nos boites aux Lettres

En un mot " Paint B.A.L. "

De l'art encore de l'art!!!

C'est beau comme des tableaux!!

A chacun son style

Un fameux " Relooking "!!!

Une vingtaine d’artistes de rue ont décoré à leur manière des boites aux lettres misent à disposition par le groupe La Poste, partenaire de l’opération.
Les boîtes aux lettres sont exposées à l’Adresse Musée de La Poste jusqu’au 1er mars 2012 et vendues aux enchères.

Les fonds récoltés seront reversés à l’hôpital Necker pour la restauration de la fresque de Keith Haring ainsi qu’au Musée en Herbe dont la vocation est d’initier les enfants à l’art, qui est une des missions de la Fondation créée par Keith Haring.

Keith Haring,

né le 4 mai 1958 à Reading en Pennsylvanie et décédé le 16 février 1990 à New York,

était un artiste majeur des années 1980 et activiste américain.

En 1988, il apprend qu'il est infecté par le virus du sida.

Il s'engage dès lors fortement dans la lutte contre cette maladie, mettant tout son art et sa notoriété au service de cette cause et de sa visibilité.

Il crée à cet effet la Keith Haring Foundation[1] en 1989 qui est chargée de venir en aide aux enfants et de soutenir les organisations qui luttent contre le sida.

Sa peinture est proche du mouvement de la figuration libre.

Son œuvre, tel un langage figuré et volubile sur des sujets universels, reste comme l'une des plus importantes de la fin du XXe siècle.

Il a réalisé la fresque de l'Hôpital Necker de Paris.

Keith Haring

meurt des complications dues au sida à l’âge de 31 ans, à l'aurore d'une nouvelle décennie en février 1990.

Le marché de l'art a très vite récupéré le phénomène Haring, l'artiste a cependant toujours cherché à démocratiser l'œuvre d'art et à miner son statut élitiste.

Il a laissé une œuvre où l'innocence cache une réelle inspiration, comme si l'artiste n'avait jamais voulu grandir et qu'il regardait le monde avec des yeux d'enfant pour mieux parler des adultes.